Alexia Fafara

Alexia Fafara est responsable des politiques et des campagnes au Lobby Européen des Femmes (LEF), où elle travaille sur des questions liées à la violence masculine à l'encontre des femmes et des filles, sur la santé et les droits sexuels et reproductifs et sur la lutte contre la traite des êtres humains et l'exploitation sexuelle.

Elle est diplômée en politiques européennes et affaires publiques à Sciences Po Strasbourg, à l'Université Jagellon de Cracovie et au Collège d'Europe de Varsovie. Son premier mémoire de master portait sur le rôle de la société civile polonaise dans la tentative de remaniement de la loi nationale sur l'avortement et le second sur l'intégration de la dimension de genre au sein de Frontex.

Avant de rejoindre le LEF en juin 2021, elle a effectué un stage au Parlement européen où elle a participé à la création du mouvement MeTooEP et du blog metooep.com sous la direction de Jeanne Ponté. Elle a également travaillé comme assistante académique au Département d'études politiques européennes et de gouvernance du Collège d'Europe pendant deux ans, où elle a contribué au renouvellement de sa politique anti-harcèlement et à l'organisation d'une conférence annuelle sur le genre.
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Alexia Fafara is a Policy and Campaigns Officer at the European Women's Lobby (EWL), where she works on issues related to male violence against women and girls, on sexual and reproductive health and rights and on combating human trafficking and sexual exploitation.

She graduated in European Policies and Public Affairs at Sciences Po Strasbourg, at the Jagellonian University of Cracow and at the College of Europe of Warsaw. Her first master’s thesis was about the role of the Polish civil society in trying to reshape the national abortion law and the second one was about gender mainstreaming in Frontex.

Before joining the EWL in June 2021, she did an internship at the European Parliament where she took part in the creation of the MeTooEP movement and of the metooep.com blog under the leadership of Jeanne Ponté. She also worked as an Academic assistant at the European Political and Governance Studies Department of the College of Europe for two years where she contributed to the renewal of its anti-harassment policy and to the organization of an annual gender conference.